Juin 13
12
L’amphithéâtre Romanée Conti du palais des congrès de Dijon était archicomble ce dimanche 09 juin 2013. L’évènement y était important : la XIXe Journée du Savoir, « unique en France et en Europe » comme tient à le préciser M. Mohamed ATEB président de la JMFB et des « Journées du Savoir ».
Mai 13
30
LE MARIAGE, EN ISLAM: UNE INSTITUTION A PROTEGER
Pour que vous puissiez vivre auprès d’elles sérénité et quiétude, «Il a mis entre vous affection et miséricorde». Dans ce monde, il y a des moments forts, des moments d’une grande religiosité, qui ponctuent notre existence et celle des sociétés, qui égaient la vie et la rendent si précieuse : naissance, circoncision, puberté, adolescence, mariage…
Mai 13
26
Voici que le 28ème numéro du journal bimestriel « Le Citoyen » parait, sortant cette fois-ci de l’imprimerie avec un nouveau look : meilleures qualités d’impression et de papier.
Le journal « le Citoyen » édité par la JMFB sera mis en ligne dans les prochains jours sur notre site.
La parution du 28e numéro est, déjà, une performance en soi
Mai 13
19
Détermination de Ramadan, l’Aïd et des débuts des mois lunaires : Le Conseil français du culte musulman recourt désormais aux calculs astronomiques pour définir le calendrier musulman, une mesure plus fiable que l’observation de la lune selon lui. Ramadan cette année sera le 9 juillet et l’aïd El fitr le 8 Août.
Mai 13
18
La JMFB propose aux élèves de Terminale et de Première un stage de révision pour le BAC les 11, 12, 13 et 14 juin au centre culturel musulman à Quetigny. Il ne reste plus que deux semaines avant le BAC qui s’approche vite, très vite. Et, inévitablement, la pression monte chez les élèves de Terminale et de Première. Ce n’est pas toujours par peur d’échouer ;
Mai 13
10
Avr 13
21
Très nombreux sont celles et ceux, admiratifs des efforts considérables fournis, depuis maintenant plus d’un quart de siècle, par notre association JMFB et par sa bonne compréhension de centralité de l’Islam, nous avaient demandé avec beaucoup d’insistance de lancer un site faisant connaître l’association, ses idées et ses différentes activités.
Avr 13
18
Et si nous élevions le niveau des débats ?
Et si de l’émotion nous passions à la réflexion et l’argumentation?
Et si, à côté, des sujets égo-centrés nous traitions plus de thèmes de société?
Et si au lieu des rejets systématiques des idées nous apprenions tolérance et respect?
Mar 13
22
JMFB:
Pourquoi pensez-vous que la droite, et plus particulièrement l’UMP, soit ou doit être une alternative à la gauche sur le canton 4 ?
Pierre-Jacob : Je dirais que ce n’est pas forcément la droite qui doit être une alternative mais le projet que l’on porte pour Chenôve.
Changer l’image de Chenôve et agir surtout sur la problématique de l’emploi car lorsque l’on regarde les chiffres de l’INSEE pour les 15-25 ans c’est 36% de chômeurs : c’est proprement scandaleux !
Certains se cachent en disant que la mairie ne peut rien faire ou ne peut pas avoir une action majeure. C’est faux. Nous proposons l’idée d’un village de marques où, d’après les promoteurs et les potentiels gens qui peuvent l’installer, 1,5 millions de gens viendraient consommer et 400 personnes pourraient y être employés.
Dans le même sens nous aurions souhaité que le tracé du tramway aille jusque dans la zone commerciale et ne s’arrête pas simplement à la Mairie.
JMFB : Les concitoyens de confession musulmane ont souffert d’une stigmatisation par une partie de l’UMP surtout lorsque ce parti était aux manettes de l’Etat. Vous êtes de l’UMP. Que dites-vous à ses concitoyens ?
Pierre-Jacob : Ce n’est pas parce que l’on fait parti d’un groupe politique au niveau local qu’on est adepte de tout ce qui se dit au niveau national. Je ne fais pas de stigmatisation, il n’y a pas de communautarisme chez moi, il y en a qu’une communauté c’est la république. Cependant pour préserver la fraternité au niveau national ou local, je pense qu’il faut prendre en compte les besoins de chacun, c’est pour cela que je propose un carré musulman dans notre cimetière de Chenôve. Ce n’est pas la première proposition dans mon programme, certes, mais c’est une vraie proposition. Je propose, aussi, la paix dans toute la ville : pas un policier dans chaque coin de rue mais plus de policiers municipaux, le système des voisins vigilants et pourquoi pas la vidéosurveillance qui est dissuasive. Et ce n’est pas parce que je suis de l’UMP qu’il ne faut pas écouter et lire mes propositions.
JMFB : Viendrez-vous à la Journée du Savoir organisée cette année le dimanche 15 juin au Palais des Congrès ?
Pierre-Jacob : Oui. Si on m’y invite, je viendrais volontiers.
Propos recueillis par Abdellah HAIFI
Mar 13
22
Le Citoyen : Quel bilan avancez-vous au niveau de l’emploi, de l’habitat et de l’image de Chenôve ?
Jean Esmonin : C’est une question essentielle. Nous avons, déjà, engagé une phase décisive de renouvellement urbain pour donner à notre ville une centralité, un cœur de ville nécessaire et essentielle.
C’est un projet mûrement réfléchi depuis bien avant 2008 qui nous a permis de libérer l’espace pour faire arriver le tramway, mettre sur pied le centre culturel et lancer notre programme d’habitat de 350 logements qui va voir le jour septembre de cette année.
Et très important, en pied d’immeubles de ces logements de qualité ce sera 4500 m² de surfaces qui seront dédiées aux commerces, services publics, activités économiques et sociales. Tout un nouveau quartier et un centre-ville pour Chenôve.
Pour l’emploi, Chenôve c’est 250 hectares de zone commerciale et 9000 emplois sur son territoire et 1500 entreprises : des PME aux grands groupes comme Plasto, Urgo.
Nous avons encore, c’est vrai, des problématiques sensibles à résoudre sur le grand-ensemble ou une partie importante de jeunes se retrouvent sans emploi pour différentes raisons. Et avec l’association « Grand sud » qui regroupent plus de 120 chefs d’entreprises de Chenôve, nous faisons rencontrer des jeunes éloignés du monde du travail pour leur offrir l’expertise de ces professionnels qui peuvent proposer des apprentissages, un guider et une formation. Nous sommes porteurs de ce projet avec ces entreprises. C’est une solution alternative à Pole-Emploi ou ces stages-bateaux qui mènent souvent à une impasse. C’est original et propre à notre ville. Et il y a bien sûr la zone franche urbaine qui oblige à embaucher sur le territoire de cette zone le tiers de leur effectif et apporter la preuve qu’il ont engagé un jeune pour pouvoir bénéficier des exonérations attachées à la notion de zone franche. Donc une adéquation entre nos jeunes et les entreprises. C’est aujourd’hui 1200 emplois dans cette zone ! Sans parler des emplois-écoles, de notre service emploi formation (5000/6000 jeunes par an qui profitent de ce service..) , de nos associations…
JMFB : Certains cristallisent leur critique sur le centre-culturel et son coût ainsi que sur une mairie moins proches des Chenevelliers. Que leur répondez-vous ?
J.Esmonin : Cela me fait sourire. Car ces affirmations sont faciles et logiquement fausses. Élu en 2001 et 2008 avec plus de 66% des voix, si le Maire était éloigné de ses concitoyens ça se saurait donc ! Mes concitoyens sont mes interlocuteurs permanents et sachez que le vrai réceptacle d’une ville c’est aussi la vie associative également sportive avec 70% de la population que je rencontre dans les instances de ces associations et sur les activités. Les mêmes qui ont, à l’époque, voté (d’ailleurs à l’unanimité) pour la construction de ce centre culturel en deviennent soudainement des opposants farouches. Déjà, pas un moindre euro n’a été à la charge de nos habitants, il faut le savoir.
Et au porte de la Capitale régionale on ne peut pas imaginer que Chenôve a un moment de son histoire n’ai pas de centre culturel qui va accueillir le conservatoire de musique 500 élèves, 30 professeurs, une école de danse dont Figure de Style, la musique municipale et notre service des affaires culturelles. Accueillir nos associations, nos écoliers et nos citoyens qui ont droit aussi à des spectacles , des forums, des conférences… de qualité.
Le centre a été financé de façon autonome, il n’a pas coûté un euro d’impôt aux chenevelliers. Il est financé par l’Agence Nationale de Renouvellement Urbain, le Conseil Régional de Bourgogne, le Conseil Général, le Grand Dijon et la ville. Donc aucun problème financier avec ce Centre Culturel.
Propos recueillis par A. HAIFI et K. SLIMANI